Tafeu François Bikoro activateur politique
Ils l’ont vilipendé au nom de la tribu, du triomphe d’ethno fascisme ambiant des faims de règne,
Dans leur boulimie génératrice de haine et d’opprobre conte les putatifs adversaires d’hier, d’aujourd’hui et de demain, ils se sont rués comme des charognards sur un homme dont les hauts d’armes sont pourtant visibles et adjuvants au triomphe de la république résiliente,
A lui, subitement, avec acharnement et même harcèlement, toutes les tares de la république bananière, toutes les fautes de nos errements et surtout l’intérêt clivant d’une meute avarié,
Ils ont allés jusqu’au crime, au propre comme au figuré, de toute velléités de sortir notre fragile nation en devenir,
Ils ont fabriqué un stratagème digne de la mafia dans le vain espoir d’en faire le parfait bouc émissaire de leur sale besogne,
Que n’a ton pas subi, que n’a ton pas vu et entendu sur leurs plateaux radio et télé, vociférant leur morne bile contre un individu dont le seul tort, s’il en était, est d’avoir foi aux institutions et à celui qui les incarne,
Ils ont convoqué jusqu’au concubinage incestueux avec les forces occultes, au-delà même de nos frontières, pour abrutir tout un peuple et le détourner de la vérité et de la réalité des faits pourtant têtus,
Ils lui reprochent même d’être proches de ses employés, de ses enfants , d’avoir de solides relations publiques ici et ailleurs, d’être un manager dont les affaires prospèrent et même d’avoir bâti un bâtiment au patronyme révélateur de son origine antipoliomyélitique ,
Ils ont convoqué de faux témoignages, dessinant même l’architecture de son immeuble siège,
Ils ont imaginé des conversations avec un haut commis de l’État,
Ils ont envahi les réseaux sociaux, menaçant et traquant tous ceux qui lui étaient proches,
Ils ont préfabriqué des procès-verbaux d’audition imaginaires,
Des faux reportages aux directs entre guillemets devant le portail vide de la gendarmerie en passant par des messes occultes
Tout y sera passé sans autre forme de procès
Ils ont même poussé le bouchon jusqu’à honnir tous ceux qui ont osé réclamer que simplement justice soit faite
Comme dans un procès kafkaïen, le bourreau tentera d’être la victime d’une machination qui puait pourtant le saut vers l’expiatoire
La famille, les amis et les employés étaient pointés du doigt accusateur d’une complicité dévoyée
Ils auront tenté, heureusement en vain, de corrompre la justice en avertissant l’opinion qu’elle serait incapable de faire son boulot en toute quiétude en arguant que le sieur bourreau tout trouve de Martinez Zogo était certainement lié au patron de la chancellerie
Le mensonge cohérent a duré le temps d’un instant qui refuse l’instinct grégaire des luttes de leadership
Au feu, criaient-ils à cor et à cri, l’empire entrepreneurial si durement acquis au prix de lourds sacrifices consentis au fil des années
Au feu, l’espérance que suscite l’employeur le plus sérieux d’un secteur professionnel ou le les patrons se comportent plus comme des voyous clivant sur la corruption d’une gestion en quête d’emploi et donc d’espoir en l’avenir
Au feu, les lourds et visibles investissements qui dénotent des autres qui ont décidé de ne rien mettre en exergue tant que leur adversaire, ennemi pourtant pourvoyeur de leur empiffrèrent financier qu’aura toujours été monsieur le président de la république depuis 1982
A la fin pour crier, comme des brebis galeuses atteint s’ankylose psychosomatique, AU GNOUF, jean Pierre Amougou Belinga !
Dès ce soir, toute honte bue, le plus difficile devrait en principe commencer pour Eux.
De leur complicité en Occident, jusque dans leur microcosme chétif de sociabilité républicaine, il ne leur …