
La Commission souligne que la lutte contre les discours de haine est l’affaire de tous (autorités publiques, secteur privé, autorités traditionnelles, autorités religieuses, communauté éducative, associations, professionnels de médias, clubs sportifs, familles, etc.) et, en premier lieu, de chaque citoyen camerounais.
La Commission continuera d’exalter, avec Benetullière, les « bienfaits pour la société de la diversité du pluralisme en tant que tels ».




