L’indignation enfle depuis la diffusion sur les réseaux sociaux mercredi dernier, d’une vidéo montrant les mauvais traitements subis par le célèbre artiste longuè Longuè,et impliquant les gendarmes. Le président de la Commission des Droits de l’homme du Cameroun ( DHC) le Pr James MOUANGUE Kobila a nunc saisie le Délégué de la sûreté nationale, et le secrétaire général auprès du ministère de la défense , chargé de la gendarmerie, pour leur transmettre la déclaration de la commission relative à la journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture . De même de leur rappeler, les accords de convention des Nations Unies ratifiés par le Cameroun.
Depuis que l’affaire de l’ auteur du célèbre titre » AYO Africa a enflammé la toile, certains colonisateurs prétendent que les CDHC présidée avec brio par le Pr James MOUANGUE Kobila est indifférent de la situation de maltraitance subis par Longuè Longué. Et pourtant la commission a été prompt à réagir et faire falloir ses missions régaliennes qui sont: la promotion et la protection des Droits de l’homme, la lutte contre la torture entre autres.
Les chantres de la fabulation et de la calomnie s’ attendaient voir la commission sur la place publique pour égrainer son action et se rassurer de son efficacité. En oubliant que les » actions les plus efficaces ne sont toujours pasles plus tapageuses »
La CDHC n’est et ne sera jamais indifférente et complice à la torture comme le font croire ces malvoyants qui l’accusent là tord
L’action de la CDHC.
l’INDH adressée une correspondance au Ministre de la Défense le 24 octobre 2024 en lien avec la diffusion sur les réseaux sociaux de la vidéo de torture d’un artiste musicien Longué Longué.
De même elle a saisie le DSN ,le SED à l’occasion de la journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture.
Non sans oublier la réponse de la communication du Secrétaire d’Etat auprès du Ministre camerounais de la Défense, adressée à la Commission nationale des Droits de l’Homme relative à son objet visé le 9 octobre 2024