C’est en substance ce qu’on peut retenir lors de la conférence de presse organisée par le Réseau international des organisations de la société civile, pour la promotion des institutions, la protection des infrastructures publiques, et l’accompagnement des élus locaux (ROCAEL) tenue le 28 novembre 2023
Former les masses pour Prévenir les confits intergénérationnels entre les dirigeants politiques actuels et les jeunes aspirants à s’insérer en politique, former dix-milles camerounais de tout bord politique pour la compétition aux élections présidentielles législatives et municipales à l’horizon 2025 tels que sont entre autres enjeux que s’est fixé cette académie d’excellence politique internationale Paul et Chantale Biya
Selon l’équipe managériale, il s’agit de fonder un cap qui reflète les aspirations des camerounais à celui d’un grand homme politique à la personne du président de la République Paul Biya dans sa vision de démocratisation et de renforcement de l’unité nationale, de l’émergence du Cameroun à l’horizon 2035
En vue de la rentrée officielle de cette académie prévue pour le 15 janvier 2024, le ROCAEL, n’a pas manqué d’inviter tous les camerounais qui désirent écrire leur histoire à partir du parcours singulier de Paul et Chantale Biya de s’inscrire dans ce temple du savoir de haut niveau en politique afin de bénéficier une formation de qualité de trois voire neuf mois de formations en plus de trois mois de stages payants au sein des institutions publiques
Dans son discours de circonstance, Kaman Oumarou coordonnateur sous régional et Recteur de ladite académie, a martelé que « l’inscription, des camerounais est attendu : nous avons aujourd’hui un devoir important de formation des camerounais en masse qui porte le nom du président de la République du Cameroun comme une boussole, un guide d’orientation, un érudit de la politique en Afrique et au Cameroun en particulier, car les jeunes générations doivent suivre le bon exemple » a-t-il souligné
Rappelons que le ROCAEL est une plateforme de la société civile qui existe depuis 2010 dans la sous- Région .IL permet de poser les problèmes structurels tout en préservant les acquis institutions publiques, Il a intervenu dans plusieurs conflits la sous régional notamment au Cameroun après la période postélectorale, en Centrafrique au Congo entre autres.